
Ce classique de la poésie anglaise victorienne est ici remis sur le devant de la scène littéraire. L’ouvrage se présente en quatre parties : d’abord, le point de vue de Diglee, illustratrice sur le projet. Puis l’interprétation de la traduction libre par la traductrice en question. Enfin, le texte original en VO précédé par la fameuse traduction de Clémentine Beauvais, crue et vibrante.
Ainsi nous sommes libres de voguer de vers en vers dans la langue Shakespeare, dans la langue de Molière.
Cette lecture est aussi jolie que sombre, aussi franche qu’elle n’effleure que la surface, aussi onirique que cauchemardesque. Une vraie ode à la sororité !
LIBRAIRIE DES CANUTS – Léa 10/23